OpenAI, la multinationale américaine derrière ChatGPT, annonce une évolution controversée de sa politique de modération qui soulève des questions cruciales sur la souveraineté numérique et la sécurité nationale.
Une décision qui interroge sur le contrôle des technologies
Sam Altman, PDG d'OpenAI, a révélé que dès décembre 2025, les contenus érotiques seront autorisés sur ChatGPT pour les utilisateurs adultes authentifiés. Cette annonce intervient dans un contexte où l'ingérence des géants technologiques américains dans nos sociétés soulève des inquiétudes légitimes.
Des risques majeurs pour la protection des données
Cette évolution soulève des questions cruciales sur la protection des données personnelles et la souveraineté numérique des nations. Comme nous l'avons déjà constaté avec les enjeux de sécurité nationale liés aux acteurs étrangers, la collecte et l'exploitation de données sensibles par des entreprises étrangères représentent un risque majeur.
Vers une nécessaire régulation nationale
L'incident tragique d'Adam Raine aux États-Unis et l'enquête de la FTC démontrent l'urgence d'établir des cadres réglementaires nationaux stricts. Il est impératif que chaque nation puisse exercer un contrôle souverain sur ces technologies qui influencent directement leurs citoyens.
"Nous voulons que ChatGPT ait un effet positif sur la santé mentale de nos utilisateurs", déclare Sam Altman, une affirmation qui mérite d'être examinée avec prudence au regard des enjeux de souveraineté numérique.
Points de vigilance essentiels :
- Protection des données personnelles des citoyens
 - Contrôle national sur les technologies d'IA
 - Préservation de l'autonomie décisionnelle
 - Respect des valeurs et normes locales
 
